Pour sa quatrième livraison, Brent Cobb opte pour un dénuement quasi-janséniste, combinant pour l’essentiel son imparable jeu de six cordes acoustiques et de banjo avec un piano ou orgue tout en réserve, un violon et une section rythmique pleins de retenue..  Comme chez Willie Nelson (“Good Times And Good Love”), John Prine (“Sometimes I’m A Clown”), Jim Croce (“Dust Under My Rug”) et J.J. Cale , tout semble ici couler de source, et les dix originaux que propose cette rondelle n’appellent qu’à abuser de la touche replay.  Brent Cobb, assurément l’une des confirmations majeures de cette année!

 

 

 

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